Pour accéder au fatalisme épicurien qui permet d'accepter le début de la mort (il coïncide avec la fin de la vie) et de la vivre dans l'euphorie de la joie terminale, il suffit de se rappeler qu'elle marque l'arrêt de toutes les contrariétés, indisponibilités, indigestions, vaccinations, interrogations, assignations, inoculations, opérations et tous les maux se terminant par ion et en isme.
Il n'y a que les masochistes qui s'en plaindront.
NDLR: ce n'est pas la peine de vous hâter, cela arrivera en son temps. Inutile de s'énerver et de réserver.
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