Le menteur n'est coupable de rien mais la première victime du mensonge. C'est lui qui le pousse à le proférer, indifférent aux conséquences et à la réputation du menteur. Le mensonge est, en effet , une contre-vérité inculquée par l'esprit de contradiction qui réussit parfois , souvent chez certains menteurs professionnels, à s'introduire dans la bonne conscience qui est affaiblie par l'habitude. Elle se laisse alors circonvenir par une mauvaise idée ou la simple envie de jouer une farce, de faire du mal ou d'en tirer un bénéfice.
Soyons tolérant pour le menteur occasionnel qui n'attend qu'une bonne occasion pour ne pas mentir. Le menteur invétéré passé à la chronicité mérite lui d'être sévèrement châtié pour être libéré de ses mensonges.
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