Puisque, de toute façon, on n'y échappe pas, il vaut mieux éviter l'expérience malheureuse de la maladie préalable avec toutes ses péripéties pénibles à supporter et finalement incurables. Partir en pleine forme, en ne souffrant de rien est, à l’inverse, une expérience unique et qui serait inoubliable si on était encore là pour s'en rappeler.
Je comprends que cette option soit rejetée par les laboratoires d'analyses et pharmaceutiques, les services spécialisés en soins palliatifs et intensifs, les maisons de retraite et les ehpad. Cela fait des millions d'emplois et des milliards d'argent qui ne trouveraient plus à s'occuper, à dépenser. Toute l'économie de la société devrait changer. Continuer de mourir de maladie ou dans le gâtisme est la solution retenue par les victimes et les bénéficiaires réunis par un sado-masochisme complémentaire béni des autorités civiles et religieuses pour une fois complices d'un crime contre l'humanisme.
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