Il y a le monde de ceux qui ne tiennent pas en place , sont toujours dans un entre-deux : deux trains, deux avions, deux départs, l'herbe étant plus verte ailleurs et celui de ceux qui les regardent et ne quittent pas leur tanière où ils s'incrustent, quasi immobiles. Ils ne courent pas ailleurs chercher ce qu'ils ont chez eux.
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