L'incroyant athée n'a pas à s'inquiéter. Il a fait le bon choix. La parabole du fils prodigue (Luc 15,11-32) a de quoi le rassurer. Elle nous dit que la bonté du père éternel est infinie (c'est un connaisseur, son fiston, qui le dit). Même un imprécateur, un pécheur, un assassin, un iconoclaste sera pardonné, accueilli les bras ouverts, dans le sein des saints, au moment adéquat. La joie et le bonheur du père seront même plus grands que ceux qu'il aura eus en recevant mère Teresa, monseigneur Gaillot ou un pape, la preuve que le péché a un plus grand pouvoir de rédemption que la vertu. Cela devrait être connu dans les couvents.
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