Pour ne pas mourir de faim, il faut gagner sa vie à la sueur de son front. On est condamné aux travaux forcés. Il n'y a que ceux qui vivent de l'air du temps qui échappent à ce destin cruel et peuvent se consacrer à l'oisiveté, mais n'est pas éphémère qui veut!!!
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Le travail est un combat permanent et relève de l'héroïsme. Il oblige, pour y aller, à se lever et vaincre la pesanteur. Il faut ensuite lutter contre la paresse, la fatigue, l'ennui, se protéger de la faute, de l'accident, résister à l'appel à la grève, éviter le surmenage, le burn-out etc....
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Plus il y a de travaux en retard, de difficultés insurmontables, plus le ciel est sombre, l'horizon bouché, qu'il y a des impossibilités structurelles, des aléas conjoncturels, plus on a de bonnes raisons, des excuses excellentes, sa conscience pour soi, ne rien faire, s'asseoir, regarder ailleurs, s'intéresser à autre chose et attendre que tout se calme, s'apaise, rentre dans l'ordre, retrouve son calme, se stabilise, s'arrange tout seul, se tranquillise est l'option à choisir. Elle seule permet de se rendormir et de faire de beaux rêves.
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