Je préfère la philanthropie de l'athée à la charité chrétienne. Elle est plus sincère, moins intéressée, plus spontanée. Elle relève d'un sentiment de fraternité, de solidarité, de responsabilité. Le croyant obéit, lui, à un commandement, exécute un ordre, en espère un dividende. Il veut se faire bien voir d'un maître tout puissant et obtenir une récompense. Il n'est pas au service de son prochain mais de son misérable dieu.
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