Le bruit se mesure de façon objective avec un sonomètre en décibel. Le silence, lui, doit se contenter d'une appréciation subjective basée sur sa densité, son intensité et l'on parle d'un grand silence, d'un silence profond, de mort, absolu. Par souci de parité et en terminer avec leur vieil antagoniste, je demande, en son nom, un mesure fiable du silence avec un étalonnage qui partirait du silence maximum qui règne dans un cube de glace porté à moins 373 degrés et le minimum, celui que l'on entend dans une salle de conférence après qu'on l'ait demandé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire