Si nos instincts premiers, ceux hérités de l'amibe qui pataugeait dans le cloaque initial avaient la force de se manifester et le courage de pourfendre la gangue qui nous englue de bonne conscience, de sagesse antique, de sciences occultes, de magie mystique, de connaissances inutiles, ils nous délivreraient du mal et nous rendraient notre âme primitive. Nous serions à nouveau libres, égaux, fraternels, prêts à fusionner, à coopérer, à sympathiser, à nous aimer les uns les autres.
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