Le pape François mène un terrible combat, d'autant plus méritoire qu'il le sait perdu. Il essaie de rendre à son église la simplicité, la modestie, l'humilité, la pauvreté du message évangélique. Il a été oublié, puis méprisé par la construction des cathédrales, de la théologie, du dogme, la pompe, les sacres, les messes opéras, les mises en scène pastorales, les grandes orgues. Tout a été fait pour diviniser l'église temporelle. Le pape lutte contre des mondanités qui révulseraient Jésus. Mais comment, à 81 ans, pourrait-il abattre des murailles qui se sont construites en 2000 ans?
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