Mais que dire des autres? Le président Macron n'est
plébiscité qu'au-delà de nos frontières. Nos belles âmes font la fine bouche.
Elles devraient plutôt se demander où nous en serions si ses concurrents
l'avaient emporté et qu'un Fillon, un Mélenchon, une Le Pen le remplaçait à l'Elysée.
Arrêtons-nous à Fillon. Il aurait appliqué son programme dur et pur: purgé la France
de ses déficits, réduit les impôts, augmenté les défenses, diminué les dépenses,
fermé les frontières, réformé l'éducation
enfin pris toutes les décisions qu'il fallait et qui étaient prévues.
Car monsieur Fillon est un homme de caractère, qui sait ce qu'il veut, a de l'ambition pour
les autres, ne cède pas aux amis, n'accepte pas de cadeaux et ne se
laissera pas guider par les événements, lui qui a été mené, par le bout du nez,
par un seul homme, pendant 5 ans.
Ceux qui aujourd'hui disent qu'il faut aller plus vite, plus
loin, plus fort n'ont aucune idée de ce qu'ils feraient. Ils ne savent même pas
ce qu'ils disent: leurs discours sont des
péroraisons, leurs programmes des vœux pieux. Plutôt que d'applaudir celui qui respecte
sa fonction, a le courage de tenir ses promesses, de passer à l'acte, ils préfèrent
cultiver la désunion nationale, leur fond de commerce en flattant le vice secret
des français: changer sans bouger, évoluer sans effort, avancer sur place.
Que faut-il dire aux mécontents pour qu'ils se rendent compte
que, même s'ils ne sont pas plus riches, ils ont touché le gros lot?
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