Il est plus fréquent de ne pas être étonné que de l'être tant les motifs d'étonnement n'encombrent pas les journaux, les conversations et l'actualité en général.
Pour étonner, il faut que le fait soit exceptionnel, rompe la routine, le consensus, l'habitude et provoque une énorme surprise, une rupture, un renversement du paradigme. Voua avez vos exemples, j'ai les miens, chacun a les siens. On va pas s'éterniser sur eux. La discrétion nous oblige.
Parlons des infirmes de l'étonnement pour être complet. Rien ne les étonne. Devant le merveilleux, l'extraordinaire, ils sont cois, indifférents, imperturbables, atones, passifs. Leur pouls n'accélère pas, leurs yeux ne brillent pas, leurs mains ne claquent pas. Ils ont l'admiration avaricieuse. C'est une maladie de l'émotion, une pauvreté de la sensation avec un manque de mots pour l'expression. Ils ont un syndrome très répandu qui s'appelle la constipation des sentiments, c'est incurable, regrettable mais pas létal, seulement mortel pour le moral et le mental.
Parlons des infirmes de l'étonnement pour être complet. Rien ne les étonne. Devant le merveilleux, l'extraordinaire, ils sont cois, indifférents, imperturbables, atones, passifs. Leur pouls n'accélère pas, leurs yeux ne brillent pas, leurs mains ne claquent pas. Ils ont l'admiration avaricieuse. C'est une maladie de l'émotion, une pauvreté de la sensation avec un manque de mots pour l'expression. Ils ont un syndrome très répandu qui s'appelle la constipation des sentiments, c'est incurable, regrettable mais pas létal, seulement mortel pour le moral et le mental.
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