Une maladie obsessionnelle frappe beaucoup de dirigeants politiques ayant le pouvoir. Ils essaient de le garder quelque soit leur état. En France, on se rappelle encore de Pompidou mourant président, de Mitterrand s'y maintenant quasi moribond. Charles Quint et Charles De Gaulle sont des exceptions et ils quittèrent , l'un son trône, l'autre son fauteuil sans attendre l'échéance. Il y a une autre façon de le garder en créant une dynastie. On a eu les Capets, les Bourbons, les Stuarts, les Windsors. Les Kennedys, les Bushs essayèrent. Aujourd'hui, on a Kim. Il y a aussi, chez nous, ceux qui, quoique renvoyés dans leur foyer, croient encore tenir les rênes et, ridicules et pathétiques , se répandent en conseil, en avis, en recommandations, jouent les augures, les vieux sages, eux qui ont tout raté.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire