Quand on pense avoir raison, il faut se rappeler qu'on n'est pas le pape, qu'on a souvent tort. Après cet examen de conscience, il faut envisager que le contraire est peut-être vrai. De la comparaison des deux positions peut sortir la bonne décision. Cette précaution est une assurance sur l'excès de confiance, une protection contre les dangers de l'intuition et la confirmation qu'il faut écouter les vérités qui sont bonnes à entendre.
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