Une statistique récente risque de surcharger les facteurs et factrices dans leur dure labeur quotidien. Elle montre l'efficacité des vœux de bonne santé dans le message du Nouvel AN. Les chiffres parlent d'eux-mêmes, écoutons-les:
97 % des personnes ayant reçu, la première semaine de 2022, une carte où ils recevaient de façon explicite, en plus des souhaits traditionnels d'heureuse année, le message "et surtout, une bonne santé" étaient encore vivants, le 31 décembre de la même année, mais, en plus, ils n'avaient 12 mois durant, subi les attaques d'aucune maladie (les 3% relevaient d'accidents de chasse, de voiture, de suicide et dans 3 cas du terrorisme aveugle). Ils n'étaient plus que 86,45% parmi ceux dont la carte ne comportait pas le souhait relatif à la bonne santé et l'on ne compte pas les hospitalisations en urgence, les grippes hivernales, les coryzas printaniers et les insolations estivales.
Ces chiffres prouvent le terrible et troublant pouvoir des mots. Ils doivent nous faire réfléchir à ce que nous omettons de dire et d'écrire.
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