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« Vous
avez votre conscience pour vous ».
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« J’y
travaille ».
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« Comment ? »
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« Je
prends mes décisions en connaissance de cause, après avoir pesé le pour et le
contre et les avoir soumises à ma critique. Je me décide alors en mon âme ».
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« Jamais
de problème entre votre idéal et la dure réalité ?» .
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« Là où je suis, je n’ai de comptes à rendre qu’à
moi-même. Pas de dilemme, pas de conflit ».
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« C’est
pourquoi vous n’êtes jamais monté dans la hiérarchie ».
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« Bien
sûr, si on veut être libre et n’agir qu’en conscience, il ne faut dépendre de
personne (Épictète) mais aussi que personne ne dépende de soi ».
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« Ce
disant vous dites que la politique ne peut être menée que pas des inconscients,
ce n’est pas rassurant ».
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« C’est
évident et on voit le résultat ».
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