Quand je fais un repas de gâteaux de mon très bon pâtissier, je sais m'arrêter au premier écœurement, en général vers le quatrième ou cinquième service. Je n'attends pas de tomber dans un coma glucidique. L'envie est toujours là et conduirait un faible de volonté à continuer de se gaver. Moi, monsieur, je ne transige pas avec mon éthique diététique!
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