Vous me demandez, cher monsieur, comment sortit de la mauvais position dans laquelle des circonstances malencontreuses vous ont fâcheusement placé. Je ne me déroberai pas à votre sollicitation car mon expertise me le permet. Vous vous êtes mis dans une situation délicate et je comprends que, compte tenu de la place éminente que vous tenez dans la hiérarchie sociale de votre village, vous souhaitiez trouver une solution élégante pour sortir cette épine géante de la plante de votre pied. Après une réflexion profonde, la lecture de la jurisprudence, la mise en compétition de toutes les possibilités et éliminer l'intimidation, la persuasion, la dialectique, la fuite, la menace, le recours à un sicaire, ma conclusion est sans appel : il faut que vous en preniez votre parti.
J'espère, cher monsieur, avoir répondu à votre attente. Ne me remerciez pas, je n'ai fait que mon devoir.
Avec mes sentiments dévoués et compatissants les meilleurs
Dancharr
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