On supporterait facilement la douleur physique si elle restait cantonnée dans son lieu de production et ne diffusait jusqu'à la tête pour atteindre notre mental et corrompre notre moral au point de nous faire parfois pleurer et de nous arracher des cris de désespoir.
Le plaisir physique n'a pas ce pouvoir et sa bienveillance ne dépasse pas son seuil de tolérance et laisse un souvenir rapidement périssable.
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