Quand vous voyez quelqu'un qui dit nager dans le bonheur, qui proclame qu'il vit dans le meilleur des mondes, qui est content de lui, des autres, de ce qu'il fait, ne croyez pas qu'il soit un enfant de Pangloss, épicurien, stoïcien, hédoniste, disciple de Protagoras. Plaigniez-le car il est atteint d'un dérèglement glandulaire avec une surproduction des hormones du bonheur qui l'inondent de sérotonine, d'ocytocine, de dopamine, d'endorphines. Cet excès fera son malheur.
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