La dernière fois qu’on entre au cimetière c’est comme la
première fois qu’on entre à l’école : une page est tournée.
Les hommes de lettres n’ont pas qu’elles. Ils ont aussi de
la grammaire, de l’orthographe et du vocabulaire. Le métier est plus complexe
qu’il ne le paraît au prime d’abord.
Il faut interdire les cimetières aux vivants. Aimeriez-vous
être piétiné le jour et bousculé la nuit ?
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