- défauts de munitions;
- manque de combattants;
- retour de la raison ( rarement);
- miracle (jamais);
- changement de gouvernement, de la politique guerrière;
- retournement d'alliance;
- suicide collectif de l'État-Major (jamais).
Les batailles sont moins rangées, les attaques se font volontiers en ordre dispersé. Les résultats sont mitigés, difficiles à évaluer. Ce sont les civils qui sont les plus exposés, car les insurgés se font volontiers exploser. Les victimes sont de ce fait plutôt collatérales. Les militaires n'interviennent qu'en deuxième recours: pour contenir le désordre, établir un périmètre de sécurité et ramasser les débris.
La guérilla n'est jamais joyeuse comme savaient l'être les belles guerres d'autrefois, les massacres se faisaient en dentelle, la fleur à l'arquebuse et l'on mourait en chantant au son du clairon et du canon.
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