Ils m’inquiètent :
·
Avec un corps trop gros pour leur cœur ;
·
Avec un appétit trop bon pour leur poids ;
·
Avec un cerveau trop miné par la drogue.
Ils sont en danger au travail, au resto, au repos. Trop
fragiles, trop sensibles, ils sont une proie facile pour les épidémies,
l’infarctus, la folie.
Si leur arrivée fut funeste pour les amérindiens, la fin
sera funèbre pour les américains.
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