Les grands maux comme la guerre, la peste et le choléra ont besoin de gros mots pour exprimer leur nocivité comme les adjectifs terrible, effroyable, épouvantable, monstrueux etc.. Les petits comme la varicelle, une piqûre de moustique, une dispute peuvent se contenter de qualificatifs anodins tels que léger, fugace, discret, superficiel etc.. On voit que le choix de l'épithète qualifie bien la nature des choses.
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