La terre, jadis florissante est devenue un grand corps malade envahi par des microbes de la taille d'un homme. Ils se reproduisent à une vitesse exponentielle et envahissent les espaces naturels, éradiquant la population indigène. Résistants aux antibiotiques, encouragés par les politiciens renforcés par les religions, ces nuisibles submergent les défenses. L'évolution de ce grand corps malade est irrémédiable, il s'avère incurable, sa température augmente, il peine à respirer, il se déshydrate. Il aggrave son malheur en refusant tout ce qu'on lui propose. Il entre en phase terminale, il est proche du coma dépassé. Personne le regrettera.
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