L’erreur de tir, fréquente en temps de guerre ou lors d’opérations de paix. Elle fait tomber au mauvais endroit : école, hôpital, ambulance, rassemblement de veuves et d’orphelins, un obus, chargé à ras le bord, d’un produit dangereux. L’erreur de tir n’est, pour l’état major des armées, ni une faute de frappe ni une bavure mais l’accident trop prévisible provoqué par la présence importune de civils à un endroit où il aurait mieux fallu qu’ils ne fussent pas, en temps de guerre ou durant une paix suspendue.
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