L'ethnologie, la sociologie, la psychologie, la psychiatrie se sont un peu intéressées à l'influence du climat et des saisons sur le comportement de l'homme, la politique jamais. Tous feignent d'ignorer les interactions qui lient l'ensoleillement, la température, l'humidité, la pluviométrie, la durée du jour et de la nuit, le régime de vents au caractère, à l'idiosyncrasie, aux habitudes, aux coutumes, à la tradition, aux choix politiques, religieux, philosophiques, éthiques. Il s'agit en fait d'un tabou, d'un refus car la connaissance de leurs relations soulèverait trop de problèmes, mettrait à jour trop de vérités, d'évidences que les relations internationales, les consensus raciaux, le fonctionnement de l'ONU seraient perturbés, les équilibres rompus et les guerres, les révolutions, les émeutes, le racisme trouveraient une explication simple, banale, élémentaire, la preuve étant faite que tout cela ne relève que du climat.
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