Notre esprit est doté de cellules glandulaires spécialisées dans les divers domaines de la pensée. Il y en a une qui secrète des idées philosophiques, une deuxième des religieuses, une troisième des politiques, une quatrième stimule l'imagination. D'autres s'occupent de mathématiques, de physique, d'économie, de cochonneries, etc.. La qualité et la quantité ne sont pas uniformes et chaque individu a une idiosyncrasie particulière qui lui donne son originalité. On peut en conclure que Mozart avait une hormone musicienne en grande quantité et d'une extrême qualité, que Shakespeare en fabriquait une dédiée à la poésie et à la tragicomédie en abondance etc.. La psychiatrie n'a pas exploré cette voie pour des raisons que je n'ignore pas : manque de cellules vouées à la curiosité et à la recherche des causes inconnues.
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