Il y a plein de pays en voie de décomposition mais qui s'agitent encore . Leur chronique d'une mort annoncée remplit les feuilles nécrologiques des journaux. Ils s'appellent l'Irak, la Syrie, l’Afghanistan, le Yémen, le Mali, la Somalie, la Libye. Des phalanges étrangères aidées de cohortes militaires de plusieurs bords s'y font une guerre civile et religieuse sans trêve ni merci. Acharnés, ils ne s'entendent que pour se haïr et se détruire.
Tout a été essayé. La médecine douce a fait faillite: pourparlers de paix, trêves, tentatives de réconciliation, armistices, échanges de prisonniers, rien n'a marché, personne ne tient ses promesses, n'a de parole.
Un traitement de choc lui a succédé, les instances pensaient qu'une médecine lourde pouvait réussir là où tout a échoué. Il a fallu accepter les complications liées aux opérations, les pertes collatérales, le débordement des bombardements, les obus mal dirigés, les drones trop entreprenants. Les effets secondaires inévitables n'ont fait qu'aggraver le drame des civils pris entre 3 ou 4 feux.
Inguérissables, incurables, mêmes les soins palliatifs ne font qu'aggraver les dégâts. La solution la plus raisonnable et la plus charitable serait de leur couper les sources d'approvisionnement pour qu'à bout de munitions, de forces, de ressources ils tombent dans le coma. Des greffes massives de bon sens, de raison, d'intelligence permettraient sans doute de récupérer les moins désespérants.
Tout a été essayé. La médecine douce a fait faillite: pourparlers de paix, trêves, tentatives de réconciliation, armistices, échanges de prisonniers, rien n'a marché, personne ne tient ses promesses, n'a de parole.
Un traitement de choc lui a succédé, les instances pensaient qu'une médecine lourde pouvait réussir là où tout a échoué. Il a fallu accepter les complications liées aux opérations, les pertes collatérales, le débordement des bombardements, les obus mal dirigés, les drones trop entreprenants. Les effets secondaires inévitables n'ont fait qu'aggraver le drame des civils pris entre 3 ou 4 feux.
Inguérissables, incurables, mêmes les soins palliatifs ne font qu'aggraver les dégâts. La solution la plus raisonnable et la plus charitable serait de leur couper les sources d'approvisionnement pour qu'à bout de munitions, de forces, de ressources ils tombent dans le coma. Des greffes massives de bon sens, de raison, d'intelligence permettraient sans doute de récupérer les moins désespérants.
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