"Je n'éprouve pas de plus grand plaisir que celui de me promener dans la boue, le froid, le vent, la pluie et je frisonne à l'idée que je pourrais être en lieu et place couché dans un hamac, entre deux cocotiers d'un motu du lagon de Bora-Bora, bercé par une douce brise, entouré d'une eau bleu-vert émeraude et sirotant un cocktail vodka-cointreau glacé apporté par une vahiné topless chaloupant au son langoureux d'un ukulélé", me dit cet ami pressé de quitter la douce chaleur de mon sweet home et refusant le verre de cognac de 100 ans d'âge que je lui offrais pour rejoindre la nuit glaciale et la neige qui commençait à recouvrir le sol verglacé.
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