Combien je plains cette pauvre jeunesse qui va devoir supporter une période épouvantable et vivre dans l'enfer d'une planète en ébullition, d'une terre polluée par la masse des déchets qu'une population démentielle ne cesse d'excréter. Elle devra se battre pour trouver de quoi manger et un travail que des robots feront mieux et pour rien à sa place. Elle sera réduite aux petits boulots: éplucheurs de patates, ramasseurs de crottin, chiffonniers chez Emmaüs. Je comprends que devant de telles perspectives, elle n'ait pas le moral, sombre dans la dépression, les paradis artificiels, le je m'en foutisme, la mélenchonite et préfère partir que voir venir. Je mesure ma chance de disparaitre avant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire