Le sentiment de sécurité que donne la chance de vivre dans un pays civilisé, cultivé, éduqué, tempéré est combattu par la certitude d'avoir à la tête de l'état un président immature, bavard, prétentieux, égotiste, qui veut régler les affaires du monde et ne sait pas comment traiter les affaires intérieurs. Plutôt que d'être là où il est, il aurait dû rester où il était , à faire ce qu'il savait faire, du théâtre, séduire les vieilles dames et les riches messieurs, de l'argent avec des fusions-acquisitions. On n'en serait pas où l'on est: plus endettés, plus divisés, plus malheureux.
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