Pour être et avoir, il faut d'abord penser. Ce verbe n'est pas un auxiliaire mais le chef. Cette évidence devrait suffire à convaincre que tout ce qui bouge, marche, vit, naît, vit, meure pense aussi, à sa manière, selon ses besoins. Cela englobe toute la faune et la flore. Il n'y a que la matière inerte, brute, première qui ne peut pas, probablement, revendiquer cette qualité. On devrait s'en rendre et en tenir compte et changer nos besoins d'avoir, de manière d'être et notre façon de penser.
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