Je profite des derniers jours de l'hiver, avec l'agrément du gentilhomme qui habite mon for intérieur pour rester, tard dans la matinée, au creux chaud de mon lit douillet, sous une couette moelleuse. J'y poursuis, dans le calme silencieux d'une chambre isolée du monde extérieur, le rêve de la nuit dont je ne vous dirai rien pour ne pas vous en rendre jaloux.
Je remets à plus tard une promenade dans le froid glacial apporté par un vent venu d'un pays hostile et qui pollue l'air d'une humidité qui me pénétrerait si je n'étais pas resté à l'abri là où vous savez.
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