Depuis Alesia, Crécy, Azincourt et j’en saute quelques unes
pour arriver à Trafalgar, la Bérézina, Sedan, Mers el-Kébir, au
sabordage de la flotte à Toulon, Dien Bien Phu, Kaboul, le haut état major de
l’armée française a le culte de la défaite et, même une fois, avait su, avant
1940, préparer la débâcle.
À chaque fois, il fait pleurer de honte et de chagrin par sa
volonté de suivre des stratégies imbéciles, de prendre des décisions idiotes et
de sacrifier des soldats innocents. Toujours avec morgue, orgueil et dans le
déshonneur qui suit.
Seuls se réjouissent les ennemis de notre pauvre et vieux
pays défendu par des incapables aussi dangereux. Ils obéissent sans déserter,
sans démissionner, sans se suicider, à une clique de politiciens dégénérés.
C’est dire que l’avenir n’est pas drôle pour ceux qui s’enlisent dans les
sables du désert ou sont aux aguets à l’ombre d’un baobab.
Pour plus de renseignements sur l’armée française, se
reporter au Dico sans queue ni tête à « A comme Armée Française »
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